Qu’est-ce que le taux de PPM ?
Le PPM (parties par million) est une unité de mesure qui indique la concentration d’un gaz (comme le CO₂) dans l’air. Dans un espace de travail, ce taux est crucial pour évaluer la qualité de l’air intérieur. En entreprise, cela peut avoir un impact important sur la santé des collaborateurs.
Source : Wikipedia
💡 Un taux de PPM supérieur à 1000 dans un bureau indique un manque de ventilation et une qualité de l’air insuffisante, pouvant nuire à la santé et à la productivité des salariés.
Objectif en entreprise : Maintenir un taux inférieur à 800 PPM pour garantir une bonne qualité de l’air et assurer le bien-être des collaborateurs.
Pourquoi surveiller le taux de PPM dans les espaces de travail ?
Le taux de PPM trop élevé dans un bureau entraîne de nombreux risques pour la santé des salariés, la productivité et la qualité de vie au travail (QVT).
Les conséquences d’un taux de PPM trop élevé :
- Fatigue et baisse de concentration chez les collaborateurs.
- Irritations des voies respiratoires, migraines et troubles du sommeil.
- Augmentation des absences pour raisons de santé.
- Impact négatif sur l’empreinte carbone et la stratégie RSE de l’entreprise.
💡 Un taux de PPM bien maîtrisé est un enjeu non négligeable pour la performance des équipes et s’inscrit à 100% dans une démarche d’'engagement RSE de votre entreprise.
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Comment faire baisser le taux de PPM en entreprise ?
Améliorer la ventilation des espaces de travail
Un bon renouvellement de l’air est essentiel pour maintenir un taux de PPM stable.
Solutions :
- Aérer les bureaux 10 à 15 minutes plusieurs fois par jour.
- Installer une ventilation mécanique contrôlée (VMC) pour améliorer le renouvellement d’air.
- Utiliser des purificateurs d’air pour filtrer les particules polluantes et le CO₂.
Réduire la production de CO₂ dans l’entreprise
Les activités humaines et industrielles augmentent les émissions de CO₂ dans les espaces de travail.
Actions à mettre en place :
- Encourager le télétravail et réduire l’occupation des bureaux.
- Optimiser les déplacements en entreprise avec des solutions de mobilité durable.
- Adopter une stratégie bas carbone en intégrant un bilan carbone dans la démarche RSE.
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Miser sur les plantes dépolluantes
Certaines plantes absorbent le CO₂, les particules fines et les toxines présentes dans l’air.
Les plantes les plus efficaces en entreprise :
- Ficus elastica (absorbe le CO₂ et l’ammoniac).
- Spathiphyllum (capte le benzène et le formaldéhyde).
- Sansevieria (purifie l’air et produit de l’oxygène la nuit).
💡 Intégrer des plantes dans un espace de travail améliore aussi le bien-être des salariés et réduit le stress.
Sensibiliser les collaborateurs à la qualité de l’air
Un changement durable passe par l’engagement de tous les salariés.
Bonnes pratiques à adopter :
- Former les équipes sur l’importance de la qualité de l’air via des ateliers RSE.
- Équiper les bureaux de capteurs de CO₂ pour mesurer la pollution en temps réel.
- Limiter l’usage des produits chimiques (désodorisants, peintures toxiques…).
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Vers une meilleure qualité de vie au travail
Réduire le taux de PPM en entreprise, c’est :
- Améliorer la santé et le bien-être des collaborateurs.
- Renforcer la responsabilité environnementale de l’entreprise.
- Optimiser la productivité en réduisant la fatigue et les absences.
Les entreprises ont tout intérêt à intégrer ces bonnes pratiques dans leur stratégie RSE pour allier performance et engagement écologique.
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